À propos —
Le défi climatique et environnemental recèle d’importantes occasions à saisir et de nombreux cobénéfices tant pour les individus et les organisations que pour la société québécoise dans son ensemble. Comment peut-on alors expliquer que 85 % des Québécoises et des Québécois sentent l’urgence d’agir, mais que seulement 15 % de la population avoue en faire beaucoup? La situation est encore plus paradoxale du côté des entreprises : si 82 % d’entre elles affirment qu’il est urgent de réduire les gaz à effet de serre (GES), 59 % n’ont jusqu’à maintenant pris aucun engagement formel pour les diminuer. Ces écarts se maintiennent année après année, malgré les effets de plus en plus concrets que l’on peut observer dans la province. La réponse se résume à nos yeux en deux mots, FACTEUR HUMAIN ou, comme le disait Hubert Reeves, le « PFH : putain de facteur humain ».
« Le Putain de Facteur Humain, c’est ce qui fait que, sachant ce qu’on sait, on ne passe pas à ce que cela implique. » | Hubert Reeves
Il existe ainsi selon nous cinq facteurs qui permettront d’accélérer l’action climatique et environnementale :
Si les quatre premiers sont couramment pris en compte, le dernier, le facteur humain, est souvent le grand oublié. Il est pourtant absolument fondamental, car l’humain est au cœur de toutes les décisions : actions (ou inactions) individuelles, organisationnelles ou collectives, normes sociales, adoption des lois et règlements, financement, innovation technologique, etc.
Or, si nous aimons croire que nos décisions en tant qu’humains sont rationnelles, elles sont en réalité beaucoup plus motivées par nos émotions et nos besoins psychologiques, qui ont peu à voir avec la raison.
S’il existe de la littérature scientifique faisant le lien entre facteur humain et climat, la mobilisation efficace de ces connaissances dans les initiatives environnementales et climatiques au Québec est encore trop peu fréquente. La déclinaison de ces savoirs scientifiques en lien avec ce facteur humain en pratiques et outils concrets pour les parties prenantes d’ici et d’ailleurs est également un champ à travailler. Il est important d'investir ici, au Québec pour pallier ces lacunes du facteur humain qui limitent une réelle réduction des gaz à effet de serre. Autrement, il est peu probable que l’on arrive à propulser suffisamment l’action individuelle, organisationnelle et collective pour répondre à l’urgence de la situation et aux recommandations des scientifiques.
Mission —
En tant que coopérative sans but lucratif et organisme de bienfaisance enregistré, Futur Simple s’est ainsi donné pour mission, en collaboration avec les acteurs de l’écosystème, de :
Contribuer à l’appropriation individuelle, organisationnelle et collective de l’action climatique et environnementale par l’activation du facteur humain.
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Le facteur humain vous interpelle ? —
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Nos volets —
Chacun de nos volets vient contribuer à la démarche globale d’expérimentation et de génération de nouvelles façons de faire qui est la nôtre.
Partenaires financiers —
Quelques partenaires d'exploration —
Notre équipe —
Conseil d'administration —
Comités —
L’équipe de Futur Simple a la chance de compter sur la contribution bénévole d’expertes et d’experts et de spécialistes de différents milieux pour l’appuyer et la challenger dans ses réflexions et activités.
Infolettre —
Restez à l’affût des dernières connaissances relatives au facteur humain en faveur de l’action climatique et environnementale au Québec. De quoi nourrir nos réflexions collectives en tant qu’actrices et acteurs de changement.
